Psychologie masculine : le pénis et sa taille
La taille du pénis dans la psychologie masculine
La taille du pénis dans la psychologie masculine. Selon Freud, « tout est sexe ». Si le père de la psychanalyse émet une telle affirmation, c’est qu’il en a sûrement les raisons : par exemple, un homme avec peu de charisme trouvera la solution à ce problème dans le « sexe ». En effet, selon les sexologues, psychologues ou autres psychanalystes, plusieurs problèmes comportementaux de l’être humain et de l’homme (le « mâle ») en particuliers trouvent leurs origines dans un ou plusieurs problèmes liés à leur sexualité. La taille du sexe de l’homme est un sujet brûlant dans ce domaine !
Le pénis et sa taille, agrandir la taille de son pénis
Le pénis trop court, le pénis trop effilé, le pénis pas assez grand, bref le pénis trop petit. Tels sont les qualificatifs entendus lors des consultations chez les spécialistes. Mais quelle serait la taille « normale » du pénis ? La taille du pénis, cet appendice du corps masculin n’aurait, en fait, rien à voir avec les autres organes du corps (pieds, mains, nez…). En général, le pénis mesure 8 à 10 centimètres au repos et 12 à 17 cm en érection avec un diamètre de 3 à 4 cm. Mais si tellement d’hommes se plaignent de leur pénis et pense ne pas avoir les « arguments » nécessaires pour satisfaire leurs compagnes, les femmes sont moins nombreuses à s’en plaindre. Pourtant les demandes d’agrandissement de pénis sont très nombreuses ; et les méthodes proposées très variées.
Parmi ces méthodes, on peut, par exemple, citer le fait d’éliminer simplement la pilosité pubienne et de perdre du poids afin de donner au membre masculin une meilleure visibilité. Il y a aussi les crèmes, les pilules ou les patches qui sont des procédés dont la validité n’a jamais été formellement prouvée. Au contraire, certaines pilules vendues sur le marché présentent des risques sanitaires avérés. La pompe à pénis est une autre méthode couramment utilisée. Mais l’effet du « pompage » ne dure en général que peu de temps. Par ailleurs, ce moyen peut provoquer des lésions au niveau des vaisseaux sanguin de la verge.
Parmi ces méthodes, on peut, par exemple, citer le fait d’éliminer simplement la pilosité pubienne et de perdre du poids afin de donner au membre masculin une meilleure visibilité. Il y a aussi les crèmes, les pilules ou les patches qui sont des procédés dont la validité n’a jamais été formellement prouvée. Au contraire, certaines pilules vendues sur le marché présentent des risques sanitaires avérés. La pompe à pénis est une autre méthode couramment utilisée. Mais l’effet du « pompage » ne dure en général que peu de temps. Par ailleurs, ce moyen peut provoquer des lésions au niveau des vaisseaux sanguin de la verge.
Agrandir la taille du pénis, une obsession
Une des pratiques ayant fait l’objet d’études scientifiques sérieuses est le fait d’étirer le pénis avec un appareil de façon quasi-constante. Les dites études ont démontrés, qu’étirer le sexe masculin de cette manière contribue effectivement à son élongation. La méthode chirurgicale est sans doute la méthode la plus poussée dans la pratique. Cette opération a connu de considérable progrès et représente sûrement la méthode présentant les résultats les plus probants.
Bref, beaucoup d’hommes disposant d’une anatomie relativement peu fournie au niveau du pénis ont su s’y adapter et surtout ont appris à adapter leurs mœurs sexuelles à leur corps. Quand à ceux qui possèdent naturellement un grand pénis n’en sont pas pour autant meilleurs en la matière, ni plus à l’aise dans la vie en général. L’idée de posséder un sexe de taille XL ne représente en tout et pour tout qu’un fantasme, un plus psychologique qui, si l’on en fait une obsession, deviendra un handicap pouvant altérer les possibilités déjà en possession. Ne dit-on pas d’ailleurs, que ce n’est pas la taille du pénis qui compte ?
Bref, beaucoup d’hommes disposant d’une anatomie relativement peu fournie au niveau du pénis ont su s’y adapter et surtout ont appris à adapter leurs mœurs sexuelles à leur corps. Quand à ceux qui possèdent naturellement un grand pénis n’en sont pas pour autant meilleurs en la matière, ni plus à l’aise dans la vie en général. L’idée de posséder un sexe de taille XL ne représente en tout et pour tout qu’un fantasme, un plus psychologique qui, si l’on en fait une obsession, deviendra un handicap pouvant altérer les possibilités déjà en possession. Ne dit-on pas d’ailleurs, que ce n’est pas la taille du pénis qui compte ?